La folle équipée du Diamant II ou On a découvert une nouvelle île...

On attend la suite avec impatience !

Juste une petite correction :

"Le temps que l'ingénieur Niçois arrivasse au rendez-vous"

---> "Le temps que l'ingénieur niçois arrivât au rendez-vous"

Eh oui, c'est bientôt la rentrée !

corsaire de la rode a écrit:Suite à la reception de nombreux mp réclamants la recette de la daube de l'ile de Porquero, je vous la livre telle que consommée.


La Daube de bœuf façon « Corsaire », une recette simple révisée pour les sorties dans les iles.

Les produits indispensables pour 5 personnes :

1,5 kg de joue de bœuf,
1 oignon planté de 2 clous de girofle,
1 oignon confi dans son cognac,
400 gr de carottes,
1 verre de vin rouge,
2 litres de rhum antillais,
1 litre de cognac (pour l'oignon)
1 zeste d’orange,
5 cuillères à soupe d’huile d’olive,

Toute la richesse de ce plat réside dans une cuisson à froid qui respecte les saveurs.
Il faut d’abord faire bronzer les morceaux de viande dans notre bonne huile d’olive. Puis faire de même avec les carottes dans la cocotte.
Passons à la cuisson à froid. Envoyer les 2 litres de rhum dans la cocotte (moins un verre pour le cuistot), faire tiédir à feux doux pendant 5 minutes. Puis STOP. Plus de feu, le rhum va cuire la viande durant 8 heures.
Au bout de 2 heures, ajouter les oignons. L’alliance du rhum avec le cognac et les clous de girofle est du plus bel effet.
Pensez à boire le vin rouge (cru à votre choix), ajouter le zeste d’orange.
Au bout des 8 heures, la daube est prête à servir. N’hésitez pas à innover pour l’accompagnement.
Chauffez la cocotte un petit quart d’heure avant le service.
ATTENTION : Chaque bouchée de ce plat apporte l’équivalent de 0.3 gr d’alcool par litre de sang. Il faudra donc veiller à consommer un apéro copieux avant de passer à la daube, histoire de préparer le terrain.

tres appétissante recette, je vais m'empréssé de la réalisé merci jp

Sans vouloir t'offenser Maya la daude au perrier menthe ,je visualise pas bien

Corsaire...
Un jour, je t'érigerai une statue!!

(Tchoi, toi, je te donne le prix nobel de littérature!)

DOMI a écrit:Sans vouloir t'offenser Maya la daude au perrier menthe ,je visualise pas bien

non là c'est du solide je suis à la lettre les prescriptions de jean paul, c'est un vrai maitre-queuxqueue

Tof a écrit:On attend la suite avec impatience !

Juste une petite correction :

"Le temps que l'ingénieur Niçois arrivasse au rendez-vous"

---> "Le temps que l'ingénieur niçois arrivât au rendez-vous"

Eh oui, c'est bientôt la rentrée !

T'es sûr? Même s'il est plein de vinasse?...

eut il fallut que d'abord il s'avinat

J'ai bon là?

Putain le suite que je puisse encore passer pour un fou au boulot, à me prendre un fou rire tout seul devant l’ordi.

Tony ça va, oui oui très bien chef.

Ils vont finir par m’interner aux trois Sollies.

ugolin a écrit:j'ai pas vu ce type d'hameçon dans ta boite ?

Oui mais dgé, le gros il vient d'inventer le fusil sous-marin à hameçon. Comme cela, il navigue entre 2 règlementations.

Bientot le fusil "lance-palangrotte";

u cignale a écrit:et mince, j'ai tout raté.... enfin presque, parce que moi, celui là je ne l'ai pas raté et, au moins, je suis sur de le manger et qu'il a bien été péché...

donc,d'aprés la photo,soit il pêche en combinaison sur les rochers avec un hameçon pour la pêche au large soit il pêche à l'agachon avec une canne ...

Tof a écrit:On attend la suite avec impatience !

Juste une petite correction :

"Le temps que l'ingénieur Niçois arrivasse au rendez-vous"

---> "Le temps que l'ingénieur niçois arrivât au rendez-vous"

Eh oui, c'est bientôt la rentrée !

Le Corsaire n'arrivasse pas en retard, ni n'arrivât non plus. Le Corsaire est victime d'un léger contretemps.

corsaire de la rode a écrit:Le Corsaire n'arrivasse pas en retard, ni n'arrivât non plus. Le Corsaire est victime d'un léger contretemps.

Qui est sûrement du, à cette jolie jeune fille sur l'île de Porquero

tony83 a écrit:Putain le suite que je puisse encore passer pour un fou au boulot, à me prendre un fou rire tout seul devant l’ordi.

Tony ça va, oui oui très bien chef.

Ils vont finir par m’interner aux trois Sollies.

Y a pas de suite !!!!!

On a levé l'ancre et on est rentré au port .......

les arrivées au port du Grand Ugolin toujours de grands moments...

ps: pourquoi ne veux tu pas parler de la suite de votre périple?

ugolin a écrit:

u cignale a écrit:et mince, j'ai tout raté.... enfin presque, parce que moi, celui là je ne l'ai pas raté et, au moins, je suis sur de le manger et qu'il a bien été péché...

donc,d'aprés la photo,soit il pêche en combinaison sur les rochers avec un hameçon pour la pêche au large soit il pêche à l'agachon avec une canne ...

mais mon dieu qu'il est con

bob l'éponge a écrit:

tony83 a écrit:Putain le suite que je puisse encore passer pour un fou au boulot, à me prendre un fou rire tout seul devant l’ordi.

Tony ça va, oui oui très bien chef.

Ils vont finir par m’interner aux trois Sollies.

Y a pas de suite !!!!!

On a levé l'ancre et on est rentré au port .......

Encore une arrivée au port épique!!!

u cignale a écrit:

ugolin a écrit:

u cignale a écrit:et mince, j'ai tout raté.... enfin presque, parce que moi, celui là je ne l'ai pas raté et, au moins, je suis sur de le manger et qu'il a bien été péché...

donc,d'aprés la photo,soit il pêche en combinaison sur les rochers avec un hameçon pour la pêche au large soit il pêche à l'agachon avec une canne ...

mais mon dieu qu'il est con

Ou alors, il pèche à l'agachon un poisson qui porte un piercing

corsaire de la rode a écrit:

u cignale a écrit:

ugolin a écrit:

u cignale a écrit:et mince, j'ai tout raté.... enfin presque, parce que moi, celui là je ne l'ai pas raté et, au moins, je suis sur de le manger et qu'il a bien été péché...

donc,d'aprés la photo,soit il pêche en combinaison sur les rochers avec un hameçon pour la pêche au large soit il pêche à l'agachon avec une canne ...

mais mon dieu qu'il est con

Ou alors, il pèche à l'agachon un poisson qui porte un piercing

Après avoir été tiré, il a simplement été attaché de la sorte pour le ramener sur la terre ferme ......

à l'agachon dans sa combinaison ,il a péché à coup de rochers ce poisson portant un piercing

Alors, cette rentrée vers le port d'attache???????????????
Il semblerait que, là aussi, il y ai quelques petits passages à relater

Nous partîmes à cinq ; mais par un prompt renfort
Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port

Juste le temps de prendre mon remède braves d'gens et je vous livre la suite

Il était temps que l’on arrive . On a failli rater l’heure de l’apéro ! Sauf Bob le Rouge qui avait déjà vidé le 1er litre de sa prescription et le Chti qui malgré ses précautions (3 packs) commençait à prendre quelques couleurs (j’hésite entre rouge vif et cramoisi). L’Amiral en était à sa 3è tentative de ‘jettage’ d’ancre quand sous les yeux esbaudis de Bob le Rouge , un ban de vieilles fit son apparition. L’équipage eut du mal à retenir Bob qui avait déjà sorti sa canne et s’apprêtait à lancer son ver au milieu des vieilles.
« Ne fais pas ça malheureux, s’écria l’Amiral, on n’est pas à Cannes ici. Les vieilles sont protégées et il est interdit de les pêcher. »
Finalement Bob se contenta de les nourrir à la main, un bout de pain par ci, une peau de saucisson par là … mais pas une goutte de liquide ! Faut pas déconner ! Bob est bon mais il y a des limites ! On ne joue pas avec les liquides !
Après un repas frugal (poulet rôti, pommes de terres pêtées, faisan, civet de lapin, un porcelet farçi communément appelé Mathias, pâtes, salade de riz, quelques légumes croquants, fromages divers et fumants, laitue, …), ‘tain on n’avait oublié le dessert ! L’Amiral donna quartier libre à tout l’équipage qui en profita pour faire trempette. Résultat des courses : un masque perdu ( = coulé) mais je ne dirai pas par qui sauf qu’il a une grosse moustache et boit beaucoup de rouge ! Bob le Rouge a piqué une méduse (parce lui, c’est les méduses qui le craignent, tu m’étonnes !). Lui, les méduses elles le touchent, elles deviennent toutes jaunes et explosent, exhalant un parfum d’anis ! Quant au Chti, il avait accosté un bateau au pavillon d’outre-Quiévrain et leur demanda s’ils n’avaient pas une gueuze bien fraîche qui traînait. D’où notre première altercation. Pendant ce temps, Corsaire scrutait les fonds à la recherche de la Bogue à Poils (et du masque coulé). Et votre serviteur, toujours aussi téméraire, barbotait fermement attaché à l’échelle du bateau.
Après cette parenthèse sportive, l’Amiral décida de se pencher sur les cartes afin de trouver le meilleur itinéraire à suivre pour rejoindre Le Levant. Tout l’équipage se joignit à lui … ZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ

Aprés ta sieste j'essaye de ne pas écrire trop fort pour ne pas te réveiller,

A toute pour la poursuite de l'aventure encore 10 pages et je le fait editer chez Galimard

d'accord tchoi

Enorme, merci Tchoi

La cambuse à protéger..............!


Gérer la cambuse est toujours un exercice périlleux à bord. Imaginez, le Tchoi , le Bob, le Dgé, le Laurent…….Tous des morts de soifs (au pluriel, bien sur).
J’étais bien obligé de lâcher une bouteille de temps en temps mais heureusement que l’apéro venait à intervalle régulier et me laissait quelques répits.
Le Diamant II était une arme destructrice…….toutes ces bouteilles, de quoi faire exploser les iles d’Hyères en cas de mauvaise manœuvre.
Le bateau, conçu pour des Charentais a dû recevoir quelques aménagements pour accueillir l’équipée : une cabine pour le bordeaux, la table des cartes pour le 51, le viski en place des gilets de sauvetage, les glaçons (à leur vrai place) au frigo, la daube au coffre (et oui…. !), la bière bien au frais dans un filet accroché au bateau . C’est peut-être ce dernier détail qui nous fera parcourir notre route à la vitesse réduite de 3 nœuds ( à propos de nœuds, l’amiral nous a donné un cours de nœuds marins. Mais à 5 grammes, certains ont eus du mal tandis que d’autres réussirent à s’attacher les mains dans le dos…………..Tout ça pour un nœud de chaise…… !)
Par bonheur, un seul point d’accès était existant pour arriver à la cambuse. Il m’était donc aisé de contrôler les allées & venues et de « gérer le stock » après certains passages répétés. Le plus dur reste la nuit. Lorsque l’amiral décide d’aller se coucher avant tout le monde, lorsque le Bob et le Laurent s’installent près des vivres, espérant me voir sombrer dans un sommeil mérité mais impossible, lorsqu’enfin le Tchoi tente, subrepticement, de me faire avaler un breuvage apte à ensuquer l’ensemble des locataires du zoo de Fréjus.
J’ai donc installé des clochettes dans tous les coins névralgiques et là, rapidement, nous avons eu droit à un merveilleux concert de clochettes…….. en canon (et en canon, ils s'y connaissent) Ah, les salauds……. !

Voila, la cambuse, c'est un sport complet. Action et stratégie sont obligatoires avec une telle équipe. J’avoue quand même avoir peur parfois, lorsqu’un couteau manque et que je dois tourner le dos ……….Tiens.. ! faudra que j’investisse dans un gilet pare-balles……..

Merci Corsaire pour ta précision de la cambuse.

Le passage des nœuds à en pleurer de rire, et que dire du gilet pare balles investi au plus vite, bien de mésaventures pourrai te tomber deçu.

quel genre de masque a été perdu? Pourquoi se déguiser si ce n'est pour commettre les forfaits dénoncés par le Corsaire

corsaire de la rode a écrit:La cambuse à protéger..............!


Gérer la cambuse est toujours un exercice périlleux à bord. Imaginez, le Tchoi , le Bob, le Dgé, le Laurent…….Tous des morts de soifs (au pluriel, bien sur).
J’étais bien obligé de lâcher une bouteille de temps en temps mais heureusement que l’apéro venait à intervalle régulier et me laissait quelques répits.
Le Diamant II était une arme destructrice…….toutes ces bouteilles, de quoi faire exploser les iles d’Hyères en cas de mauvaise manœuvre.
Le bateau, conçu pour des Charentais a dû recevoir quelques aménagements pour accueillir l’équipée : une cabine pour le bordeaux, la table des cartes pour le 51, le viski en place des gilets de sauvetage, les glaçons (à leur vrai place) au frigo, la daube au coffre (et oui…. !), la bière bien au frais dans un filet accroché au bateau . C’est peut-être ce dernier détail qui nous fera parcourir notre route à la vitesse réduite de 3 nœuds ( à propos de nœuds, l’amiral nous a donné un cours de nœuds marins. Mais à 5 grammes, certains ont eus du mal tandis que d’autres réussirent à s’attacher les mains dans le dos…………..Tout ça pour un nœud de chaise…… !)
Par bonheur, un seul point d’accès était existant pour arriver à la cambuse. Il m’était donc aisé de contrôler les allées & venues et de « gérer le stock » après certains passages répétés. Le plus dur reste la nuit. Lorsque l’amiral décide d’aller se coucher avant tout le monde, lorsque le Bob et le Laurent s’installent près des vivres, espérant me voir sombrer dans un sommeil mérité mais impossible, lorsqu’enfin le Tchoi tente, subrepticement, de me faire avaler un breuvage apte à ensuquer l’ensemble des locataires du zoo de Fréjus.
J’ai donc installé des clochettes dans tous les coins névralgiques et là, rapidement, nous avons eu droit à un merveilleux concert de clochettes…….. en canon (et en canon, ils s'y connaissent) Ah, les salauds……. !

Voila, la cambuse, c'est un sport complet. Action et stratégie sont obligatoires avec une telle équipe. J’avoue quand même avoir peur parfois, lorsqu’un couteau manque et que je dois tourner le dos ……….Tiens.. ! faudra que j’investisse dans un gilet pare-balles……..

jean paul mon ami,
pour te soulager de cette ingrate tâche, je te propose lors de ta prochaine équipée d'etre volontairement enfermé dans la cambuse pendant toute la traversée afin de la protéger de ces infâmes margoulins! juste deux packs de perrier avec une bouteille de menthe à l'eau et.............une bouiteille d'orgeat à toute fin utile.....
ton dévoué ami.....
maya

ça recommence les noirs desseins, les menées subversives et litigieuses avec les modérateurs