Le coin du poête...

A me voir, presque vieux
Pas encore hideux
Qui peut savoir, ce bien précieux
Qui est en moi.

Tous les pleurs et les rires,
Il me faut aussi mentir,
Pour ne pas faire souffrir.
Taire ce qui est en moi.

Parfums de printemps,
Respire et prend le temps,
Si tu me mens,
Tu tues ce qui est en moi.

Pensées folles
Qui s’invitent et collent,
Et m’affolent.
Je doute de ce qui est en moi.

Un bout de chemin
Entre mes mains
Sans lendemain ?
J’ai peur de ce qui est en moi.

Toute cette détresse
J’accepterai une laisse
Pour garder ce qui est en moi.

Toi toute petite , oublies les nuits sans sommeil , je t'apprendrai à vivre , avec tellement d'autres choses , de l'infini jusqu'au soleil , avec tout simplement l'envie .... y être utile et pourquoi pas , l'envol vers l'ailleurs l'innaccessible ailleurs , l'astre éternel de ceux qui quoiqu'ils soient , dans l'âme , sont purs .

désolé , j'avais ça dans la tête , pardon pour ce pet cérébral

bé dis donc !!!!!

petit breton a écrit:Toi toute petite , oublies les nuits sans sommeil , je t'apprendrai à vivre , avec tellement d'autres choses , de l'infini jusqu'au soleil , avec tout simplement l'envie .... y être utile et pourquoi pas , l'envol vers l'ailleurs l'innaccessible ailleurs , l'astre éternel de ceux qui quoiqu'ils soient , dans l'âme , sont purs .

désolé , j'avais ça dans la tête , pardon pour ce pet cérébral

Pour une fois que ça sent bon...

J'en reste pantois

Avec le temps ,

on en vient à connaître la différence entre tenir la main d'un ami et enchaîner celui-ci

On en vient à comprendre que l'amour ne consiste pas à s'appuyer
sur quelqu'un mais apporter du soutient à cette personne .

On en vient à accepter ses défauts avec la dignité d'un adulte et non la détresse d'un enfant.

On en vient à construite sa vie un jour à la fois en sachant que rien ni personne ne peut nous assurer des jours heureux.

On en vient à semer des graines dans un jardin plutôt que d,attendre de recevoir des fleurs .

On en vient à réaliser que l,endurance acquise est attribué à une grande force.

Dame Laéti ferait elle dans la philosophie appliquée ?

Une aube , un étang gelé , sur l'étang une brûme semblable à tant d'autres , un rayon passe en son travers , un petit matin ...
un Cygne , un autre , le froid l'accueille , l'autre s'envole ...
Un soleil qui semble se battre pour être ici , pour être ...
au détour d'un reflet sur la glace un ange ... et si j'avais rêvé ?
Un buisson , le gel , des formes mélées lui donnent une prestance , un lièvre détale à mon approche , sur le lièvre une présence .. farfadet ? lutin ? autre chose encore ? ... et si j'avais rêvé ...?
Des pas , un son , un bruit .. le charme est rompu , l'homme me croise , me salue , je lui rend et m'éloigne ... sait il qu'il a brisé mon rêve ?

tiens tu fais de la poésie estrasse ?

Maya ta g......

petit breton a écrit:Dame Laéti ferait elle dans la philosophie appliquée ?

Il faut fuir son histoire
Pour ne plus lui dire tu
Et dans chaque départ
C’est toujours soi que l’on tue

Mais comment fuir l’absence
Quand on la porte en soi
Les portes du silence
Ne se referment pas

Les années ont passé
Comme des oiseaux bleus
Aux ailes fracassées
Dans le fonds de mes yeux

Elles passeront encore
Comme ces oiseaux fous
Qui ont perdu le Nord
En cherchant après nous

Je sais le gout du risque
J’ai joué tous tes jeux
Pour écrire la musique
Sur l’histoire de tes yeux

Un jour après la mort
Nous nous rencontrerons
Et pour dire je t’aime encore
Je t écrirais ta chanson

Je me souviens de toi
Je me souviens de nous
Je me souviens de toi
Je me souviens de tout

laeti a écrit:Avec le temps ,

on en vient à connaître la différence entre tenir la main d'un ami et enchaîner celui-ci

On en vient à comprendre que l'amour ne consiste pas à s'appuyer
sur quelqu'un mais apporter du soutient à cette personne .

On en vient à accepter ses défauts avec la dignité d'un adulte et non la détresse d'un enfant.

On en vient à construite sa vie un jour à la fois en sachant que rien ni personne ne peut nous assurer des jours heureux.

On en vient à semer des graines dans un jardin plutôt que d,attendre de recevoir des fleurs .

On en vient à réaliser que l,endurance acquise est attribué à une grande force.

De l'opportunité des actes au regard des croyances , je ne retiens rien .
De l'idée de savoir au dela d'une conscience , je ne retiens rien .
De construire un reflet à partir d'un mirage , je ne retiens rien .
D'adorer pour entendre et croire que l'on apprend , je ne retiens rien .
De sceller son destin dans une certitude , je ne retiens rien .
Détester ou aimer comme seule alternative , je ne retiens rien .
d'espérer t' enlacer et pour mieux nous rejoindre , je te retiens toi .

J'aimais ce faucon elançé aux ailes de faucille
qui le soir aux couchants dorés, traces de folles arabesques

J'aimais aussi ma tourterelle et ce matin sur le gravier de cette allée
je n'ai trouvé qu'une poignée de plumes douces

Que la loi d'amour est lourde SEIGNEUR
quand la beauté tue la beauté.....................

chiant ce topic que font les modos?

maya a écrit:chiant ce topic que font les modos?

au lieu de râler sac pétardier , relis le joli texte de miss Laéti et médites sur la dernière phrase en particulier , insecte éthylique à zébrure ! drôle de zèbre cette abeille

HIER ENCORE


Hier encore
J'avais vingt ans
Je m'amusais avec la vie
Je croyais que j'aurais tout mon temps
Je ne savais pas que la vie
Nous filait entre les doigts
Aussi vite qu'une poignée de sable

Hier encore
J'avais trente ans
J'occupais tout mon temps
Les enfants la maison
Les journées passaient
Sans que j'ai eu
Le temps d'en profiter même un peu
Cétait la course contre la montre

Hier encore
J'avais quarante ans
Je n'ai pas le temps
De voir grandir les enfants
Le travail les tracas de tous les jours
Je cherchais un peu de répit
Mais le ménage les courses
Que le temps passe vite
Mais où m'emmène t'il ?

Hier encore
J'avais cinquante ans
Les enfants partis
Chacun faire leur vie
Maintenant Grand-Mère
J'essais de ralentir pour déguster
Le temps de privilège qui m'a été donné
Pour revivre un peu à ma manière
Cette nouvelle vie
Mais toujours le travail la maison
Je me fatigue plus rapidement
Que le matin rejoins le soir
En temps de le dire

Aujourd'hui
Je prends le temps
De contempler la vie
Je me donne du temps
Même si je travaille encore
J'arrive à trouver du temps
Pour m'offrir des petits plaisirs
Je sais que le moment présent
Le plus important
Car demain reste toujours un incertain

Avec mon homme on se parle
Du temps qu'on n'a pas vu passer
On se parle de nous
Sans trop regarder en arrière
Puisque notre vie est là maintenant
J'ai appris à faire une pause
Cette petite chose que j'avais jadis oubliée

Que le temps est bon
Quand on le regarde
Qu'on le touche
Qu'on le caresse
Même s'il nous a fait vieillir
On ne peut s'en passer
Il nous prend la main
Et nous entraîne
Vers d'autres lendemains

Hier encore
J'avais vingt ans

Mais aujourd'hui je sais
Que le temps est en sursis
Que je dois vivre le temps
Qui m'est prêté

Alors avant que ma vie se décompose
Et que mon temps se fane
J'adoucis mon regard
Sur quelque chose
Ma vie

Hier encore
J'avais vingt ans
Maintenant je sais
Ce qu'est le temps

(auteur de ce poème DIANE-L. (Enaid)
de son vrai nom Diane Le Floch'h
[b][i]

Sur le quay Dugay Trouin joue un bagad.”
C’est enjoué, c'est poignant, comme un insigne écho.
ça tremble sur les lèvres, ça pleur au coin au coin des yeux.
On voudrait chanter, éclater en sanglots!

Tu as neuf ans, quatre ans de guerre,
et tout à coup: c’est fini... les funérailles
font place aux danses, on met la sono en marche,
et la foule oscille, et brille en noir et blanc,

la bombarde sanglote, puissante et brûlante,
le disque l'accompagne miroite à , l'abri de sa coque,
et, à travers, on dirait que s'exerce une épaule
musculeuse, irisée et qui vire au bleu.

Puis tu eu 19 ans: et c’est une autre boite,
qui embaume la pinède triste; on a fait briller
le chrome des poignées ; le bombarde est devenu clairon;
et quelle émotion, une voix d'un autre monde, cette vibration lente...

La voix de mon pays s’envole grondant dans les ténèbres:
là-bas sur les remparts, c’est un grand souffle libre!
Là-bas aussi, Saint servan . Et qui se soucie
que ce sonnet soit de Lebesque ou Hélliaz qui y trouve sens ?
La bombarde sanglote; à terre reste l’étui
plein de feuilles et de pluie; les prunelles ardentes,
scintillent. je veux être du nombre
des gens noirs, le jour où les saints iront aux paradis.

Sur sur le quay Duguay Trouin joue un bagad .
C’est le début , la fin, et c’est tout. Rien à oter rien à y ajouter
à cela, même le glissement de la harpe celtique
qu’effleure en pleurant le harpiste , triste.

à Loïc , en souvenir de l'injuste et du sens .

maya a écrit:chiant ce topic que font les modos?

t'as raison pour une fois. Je vais t'aider à le ré-em-pirer.

Au réveil, une femme annonce à son mari, rugbyman,qu'elle divorce.

- Mais pourquoi? demande-t-il tout étonné...

- Que tu fasses des passes chistera toute la nuit au lit, ça passe...

Que tu aplatisses aux pieds du lit sans arrêt, passe encore...

que tu sautes en l'air pour prendre les ballons en touche je veux bien .

Mais que tu m'arraches les poils du cul pour voir d'où vient le vent, c'est trop!!!


C'est beau la poësie dans le pire

Je savais bien qu'il y aurait quelqu'un pour " Cochonner " ce topic
moi j'ai pas osé , par respect pour cette vieille bourrique de Papadefa et parce que j'aime la poêsie .
Mais bon , le cochon est pouet !

d aqui a écrit:

maya a écrit:chiant ce topic que font les modos?

t'as raison pour une fois. Je vais t'aider à le ré-em-pirer.

Au réveil, une femme annonce à son mari, rugbyman,qu'elle divorce.

- Mais pourquoi? demande-t-il tout étonné...

- Que tu fasses des passes chistera toute la nuit au lit, ça passe...

Que tu aplatisses aux pieds du lit sans arrêt, passe encore...

que tu sautes en l'air pour prendre les ballons en touche je veux bien .

Mais que tu m'arraches les poils du cul pour voir d'où vient le vent, c'est trop!!!


C'est beau la poësie dans le pire

merci mathias enfin de la vraie poesie fadasienne du pire
merci mon cochon car y me faont chier c rimbaud en herbes

y t'pisse à la raie Rimbaud ! face d'ampoule

petit breton a écrit:y t'pisse à la raie Rimbaud ! face d'ampoule

ben va pisser sur la raie de verlaine çà lui fera plaisir

samedi dernier, au salon de l'érotisme qui s'est tenu à Toulon, Monsieur et Madame Verlaine se sont offert quelques petits cadeaux coquins...
Aprés avoir demandé quelques renseignements concernant l'usage du vibromasseur qu'il avait choisi, heureux comme des bambins
Le vendeur leur recommande d'utiliser le materiel comme d'ahabitude, aprés avoir fait un gros calin
Le lendemain, prés avoir suivi les conseils avisés du vendeur, le couple décide de rammener l'engin

Devant ce retour de marchandise, le commerçant se trouva tout con
se tournant vers Madame Verlaine, il lui posa la question
"Comment se fait il que vous ne soyez pas convaincu des qualités de ce superbe substitut d'étalon?"
"on a fait comme vous avez dit, comme d'habitude mais j'ai perdu tout mes plombs"


Y'a pas Poëme là?

D'aqui , Maya , vous êtes des grossiers , des mal polis , des butors , des moules à gauffre , des estrasses Marseillaises , des obsédés sexuels , des iconoclastes , des sacoches , bref des brougnes !
Mais ça fait du bien !!!

ben moi j'appreçies le poesie cochonesque!

maya a écrit:ben moi j'appreçies le poesie cochonesque!

ouais ? ben moi je me méfie ..
il a la poêsie facilement olfactive sa majesté ..;

L'essaim se gonfle et s'abandonne
A la caresse du printemps
Et, dans la ruche, tourbillonnent,
Prêtes à prendre leur élan,

Bzz, bzz, bzz,
Bzz, bzz, bzz... les abeilles !

Se posant par cent et par mille
Sur les fleurs qui s'ouvrent à peine,
Elles butinent leur pistil
Pour en extraire le pollen,

Bzz, bzz, bzz,
Bzz, bzz, bzz... les abeilles !

Ces gentilles petites bestioles
Fabriquent d'abord de la cire.
Elles y font des alvéoles,
Doux petits nids pour bien dormir,

Bzz, bzz, bzz,
Bzz, bzz, bzz... les abeilles !

Mais gare à celui qui s'égare
Au milieu d'elles, par hasard.
Il aura beau s'enfuir dare-dare,
Il sera piqué par le dard.

Bzz, bzz, bzz,
Bzz, bzz, bzz... les abeilles !

Quand vient le grand jour de la ponte,
La reine doit faire de son corps don
Et dans l'azur elle monte, monte,
Poursuivie par tous les bourdons.

Bzz, bzz, bzz,
Bzz, bzz, bzz, ça va être sa fête !

C'est celui qui la rattrapera
Qui sera le bourdon papa,
Mais, tout de suite après, il mourra
Pour avoir donné tout ce qu'il a.

Bzz, bzz, bzz,
Bzz, bzz, bzz, vaches d'abeilles !

Si tous les hommes ici-bas
Devaient mourir à ce moment-là,
J'en connais plus d'un, croyez-moi,
Qui y regardrait à deux fois.

Bzz, bzz, bzz,
Bzz, bzz, bzz, à d'autres !

Heureusement que c'est pas demain la veille
Que les femmes deviendront abeilles.
Dans ce cas, je dors sur mes deux oreilles
Et je dis miel aux petites abeilles.

Pensez bien, moi quand j'suis avec ma fiancée,
J'me fiche pas mal des abeilles...
Les abeilles... J'me demande un peu...
Enfin, allez, à la ruche... A la ruche...