Amis poètes...

Bonjour !

J'ai chopé la diarrhée

Tof a écrit:Bonjour !

J'ai chopé la diarrhée

On dit la CAGUARELLE!

La gastro

L'horloge des beffrois résonne sous les arches,
Et les heures s'égrennent sans espoir de retour,
De l'escalier du temps nous descendons les marches,
Sans trêve, sans arrêt,sans pause ni détour.

à mon ami jp s'il pouvait encore me lire........

Tof a écrit:Bonjour !

J'ai chopé la diarrhée

Tu passes quand pour la deuxième couche

Papadefa -12 a écrit:L'horloge des beffrois résonne sous les arches,
Et les heures s'égrennent sans espoir de retour,
De l'escalier du temps nous descendons les marches,
Sans trêve, sans arrêt,sans pause ni détour.

à mon ami jp s'il pouvait encore me lire........

C'est très beau. Je ne connaissais pas ce poème.

la cagagne aussi...

Tof a écrit:

Papadefa -12 a écrit:L'horloge des beffrois résonne sous les arches,
Et les heures s'égrennent sans espoir de retour,
De l'escalier du temps nous descendons les marches,
Sans trêve, sans arrêt,sans pause ni détour.

à mon ami jp s'il pouvait encore me lire........

C'est très beau. Je ne connaissais pas ce poème.

Il aurait été étonnant que tu le connaisse...

L'homme est un voyageur dont la route est minée,
Le choc du lourd marteau sur la cloche d'airain,
Rappelle à ce passant sa brève destinée,
Et le terme fatal d'un jour sans lendemain.

Toujours à toi Ami...

ce topic est dédié à mathias!!!!!!!!!!!!!

maya a écrit:ce topic est dédié à mathias!!!!!!!!!!!!!

Le à la chiasse

Nous disposons chacun au jour de la naissance,
D'un capital " aller " le retour est exclu,
Nous devrions le gérer en toute connaissance,
Sans évoquer l'excuse d'un milieu corrompu.

T'en souviens tu ?

Papadefa -12 a écrit:Il aurait été étonnant que tu le connaisses...

ça n'en est pas moins beau et émouvant...

L'horloge des beffrois résonne sous les arches,
Et les heures s'égrennent sans espoir de retour,
De l'escalier du temps nous descendons les marches,
Sans trêve, sans arrêt,sans pause ni détour,
Aux pattis faut aller cela sans plus tarder,
A cela je ne vois ni espoir ni recours,
Car en vérité la diarrheé j'ai chopé.

L'amitié

Une perle rare qui ne coure pas les rues
C'est la voix qui vous parle lorsque vous êtes seul
Et la main qui se tend derriere le linceul
La soufrance, la mort et les vies revolues

Mais si l'âge a blanchi votre tête chenue
Rarement grincera l'antique portillon
Et si vous l'entendez, regardez au balcon
Ce n'est qu'un coup de vent qui, parfois le remue

Rentrer dans votre égo, muet et solitaire
Du désert de l'oubli allez vous énivrer
L'homme deux fois sapien, n'a rien d'humanitaire

Si l'usure des ans n'a pu vous ebranler
Detruisant du soma le cursus sanitaire
Des tabous et des chaines, osez vous liberez.

Jp.